NOTRE HISTOIRE
Notre projet
- 2016 -
Création de l'ANAS
(Association pour un Nouvel Accompagnement Scolaire)
Au départ, conçue comme une association visant à apporter un soutien scolaire notamment aux enfants en IEF ou neuroatypiques, l'ANAS a très vite suscité l'attention de nombreuses familles.
Au fil des années, l'ANAS devient un lieu d'échange et de partage où les attentes et les valeurs en commun font naître l'idée de la création d'une école.
Afin de pouvoir proposer un parcours scolaire complet aux enfants fréquentant l'association, l'ANAS se lance dans la création d'une école primaire indépédante et non confessionnelle:
l'école MAIN DANS LA MAIN.
- 2017 -
Le début d'une longue aventure..
Après des mois de recherches et de démarches, nous parvenons à trouver un bâtiment et le permis de construire est obtenue. L'école est pensée dans le moindre détail afin d'assurer la sécurité et le bien-être des enfants.
- 2019 -
La fin des travaux
Après deux années intenses, les travaux sont enfin terminés.
L'intérêt d'un tel projet ?
Les bénéfices d'un projet comme celui de l'école Main dans la main sont nombreux et méritent d'être rappelés.
Concernant les enfants inscrits auparavant en Instruction En Famille (IEF), les avantages sont indéniables:
- 2020 -
L'ouverture de l'école
L'école privée hors contrat MAIN DANS LA MAIN fait sa première rentrée. Notre objectif ? Accompagner les enfants durant leur scolarité afin qu'ils acquièrent les apprentissages essentiels à leur épanouissement personnel et social. Une cible prioritaire ? Les enfants issus de l'instruction en famille, neuroatypiques ou tout simplemement ceux ne trouvant pas leur place dans l'enseignement classique.
- 2025 -
Après cinq belles années d'activités, nous souhaitons passer sous contrat d'association avec l'Etat.
Apports d'un tel projet
1. La socialisation
En effet, à l’école, on apprend bien plus que lire, écrire, compter et calculer. On apprend à vivre avec les autres en intégrant les contraintes propres au groupe, en faisant l’expérience des limites de sa propre liberté face à celle des autres. L’école est le premier lieu de rencontre. Faire le choix de l’école à la maison peut être un risque pour les comportements futurs de l’enfant.
L’enfant ne côtoie pas de camarades. Il peut en découler une certaine désocialisation pouvant aboutir à son tour à une frustration. De plus, le rapport affectif entre les parents et l’enfant, qui n’est pas neutre comme pourrait l’être celui de l’enseignant, risque de provoquer des malentendus au moment de la réintégration de l’élève dans la société.
Surprotéger son enfant n'est pas lui rendre service: tôt ou tard il sera confronté aux difficultés de la vie et c'est à l'école qu'il se forgera sa personnalité.
2. Les contraintes financières
En IEF, l’un des parents (bien souvent la mère) doit constamment être présent avec l’enfant. Elle doit donc renoncer à toute vie professionnelle et la famille ne pourra compter que sur un seul salaire pour vivre.
3. L'organisation
L’école à la maison nécessite une réelle organisation et certaines compétences. Le parent-professeur doit savoir organiser son temps et planifier les leçons hebdomadaires et les autres activités.Il est parfois difficile de gérer en même temps la vie scolaire, émotive, familiale et professionnelle.
Ce mode d'instruction n'est pas donné à tout le monde.
4. Le jugement des autres
Le jugement extérieur négatif cause souvent de nombreuses incompréhensions, voire des ruptures avec la famille et les proches. Ces derniers ne comprennent pas pourquoi un enfant est privé d'école (mais pas d'instruction) et cette incompréhension est légitime.
5. Les contrôles académiques
Lorsqu'on a son enfant scolarisé, fini les inspections académiques qui peuvent paraître stressantes pour certains. Désormais c'est à l'école de gérer les inspections.